Mélancolie
Garde-caverne de la Tribu de la Lune Montante
Messages : 76 Date d'inscription : 12/07/2011 Age : 25
Feuille du chat Nom: Mélancolie des Anges où le temps s'arrette Age: 20 lunes Liens rp & autres: | Sujet: Mère un jour, Mère toujours... Mais tu fais exception à la règle. (Période n°1) Dim 24 Juil - 17:40 | |
| PREMIERE PERIODE Je suis Lune Maléfique Descendante des Anges. Je suis dans la pouponnière de la Tribu de l'Eau Vive. Malheuresement, dans quelques minutes, je mettrais au monde je ne sais combien de boules de poils. Comme si je n'avais que ça à faire, m'encombrer de chatons idiots !
Elle m'a fait mal. Très mal, une douleur inimaginable. Mais pour mon plus grand bonheur, elle est seule. Une seule petite chatte, dont je devrais désormais m'occuper. Je décidais alors de l'appeller Petite Mélancolie où le temps s'arrette.
J'avais besoin de repos. Beaucoup de repos. Petite Mélancolie m'épuisait, je pensais qu'une fois mes chatons nés, je leur porterais un mépris lourd de sens. Mais non. Les grands yeux noirs de ma petite, me faisaient fondre malgré mon âme de glace. Je détestais tout les chatons. Sauf elle. Mais j'étais obligé de tenir ma promesse : je devrais l'éliminer dans peu de temps. Je me devais de tenir cette promesse. Pour mon honneur, ou du moins... pour l'instant.
Je portais ma petite chatte par la peau du coup et l'amenna jusqu'au Rochers Saillants, sur le territoire de la Tribu de La Lune Montante. Comme prévu, Silence Eternel où la Paix règne en Maitre, m'attendais. Quelques lunes auparavant il m'avait mise en garde "Si nous avons des chatons, il nous faudra les tuer. Nous n'aurions qu'à, les jeter du heut de la falaises." Je voulais, tenir ma promesse, Petite Mélancolie, ne savait pas encore parler, je ne m'étais pas trop attacher à elle... Si ? J'étais aux cotés, de mon compagnon, il me jeta un regard entendu et c'est à cette instant précis que ma petite chatte, s'exclama :
"-Maman !"
Je sursauta, tout ce passa si vite, Silence Eternel, se rua sur mon chaton, au lieu de l'aider à la pousser dans le vide, je le mordi à l'oreille et le fit basculer de la falaise. La chute se fit en silence, personne ne cria, trop étonné pour réaliser. Un bruit sourd nous fit comprendre à toutes les deux que le jeune mâle avait percuté les rochers avec une violence incomparable.
"-On rentre." |
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