Fleur se réveilla un gout amer dans la bouche, la faim au ventre. Elle avait pourtant mangé à sa faim hier soir mais la cause était tout autre, un cauchemars...ou un rêve...elle ne faisait plus la différence. C'était toujours le même et elle c'était habitué. Elle s'ébroua et commença a faire une toilette minutieuse; Elle aimait être propre, le poil lustré. Puis elle sortie de la tanière et se dirigea vers la forêt, le tête pleine de pensées. La joli petite chatte s'allongea finalement sous un pin aux branche basses. Elle entendit un joli petit bruit: le bruit du gibier. L'odeur l'accompagnant était celle d'une souris. Elle se mit en position et attendit. la souris passa a coté d'elle. Elle lui sauta agilement dessus. Fière d'elle, Fleur esquissa un sourire et commença à dépecer sa proie quand elle entendit un bruit sourd. Elle agita les oreilles et se releva. Elle enterra ensuite son gibier et se mit en position de combat très approximative. mais elle reconnu l'odeur de sa tribu et, rassurée, elle déterra sa proie, s'allongea sous le pin aux branche touffue et se remit a manger.

C'était la meneuse, Étoile d'Ajonc.
- Bonjour ! Tu chasses ? Cela te dérange si je me joins à toi ?
Sa ne la dérangeait pas du tout au contraire. Elle la salua puis dit.
-Au non, pas le moins de monde ! Plus on est de fou, plus on rit ! Alors, comment sa va ?
Elle lui posait une question simple mais qui détendais l'atmosphère. Fleur souris et poussa sa souris de la patte en direction de la meneuse.
- On partage ? Pour prendre des forces..
Dit-elle, comme pour je justifier. elle se leva et s'ébroua, des brin d'herbes était resté collé a son pelage. Le soleil la réchauffa et faisait brillé son poil, ses yeux s'allumèrent un instant. Elle se positionna et sauta dans les hautes herbes. Elle avait vu un lapin, mais le vent était dans le mauvais sens, elle c'était donc élançait en se dépêchant, au risque de le perdre. Mais la chasse-proie avait vu juste et arriva, fier d'elle, le lapin dans la gueule, devant la meneuse. Elle repoussa la souris décarcasser et la remplaça par le lapin.
-Je pense que sa seras bien mieux !
Dit-elle en rigolant!

(C'est court, désolé)

- Bravo ! Je n'aurais pas fait mieux !
Fleur inclinas la tête pour la remercier puis se leva et dit en rigolant.
-Bon, finis de se goinfrer ! On y va !
Elle se retourna et commença a trottinait, tête haute, pour sentir le gibier. Un souvenir lui vint à la mémoire, c'était a cet endroit qu'elle avait chassé sa première souris. Elle esquissa un souvenir repensant à cette période bénite. Elle sembla se souvenir de la meneuse et l'attendit en se faisant ses griffes aiguisé sur un tapis d'herbes. la meneuse arriva et Fleur repris sa route, elle connaissait une clairière ou les lapin pullulaient et elle semblait décider a montrer cet endroit à la beauté resplendissante. Elle ralenti et se maudit de n'avoir pas attendu la meneuse.

- On attrape quelques lapins ? Ça fera de la viande fraîche pour la tribu !
-Ok, en plus, les lapins sont vraiment idiots, sans leur manquer de respect bien sur, mais il n'y en à jamais un, après nous avoir échappée, qui est allez dire aux autres de se méfier de nous !
Je ris, puis me mit en position. Je sentis tout autour de moi. Il y avait un terrier proche, sa sentait les lapereaux, je décida de les laisser tranquille, sa nous fera plus de viandes quand il grandiront. Je sauta dans un buisson plus par instinct que par autre chose et je sortis, la queue basse, du vide dans la gueule. Le lapin avait paniqué et c'était enfuie en courant en poussant des couinement plaintif si puissants qu'il allait faire partir tout les autres. Je me remis en position et sauta cette fois-ci plus sur de moi; je revint un lapin dans la gueule. je creusa et remis de la terre par dessus ma proie.
-Celui-ci, je l'ai eu !

- Nous ne pourrons pas en porter plus. Et si on rentrait au camp ?
J’approuvais. nous prîmes donc le chemin du camp, les proies dans la gueule. De ce fait, il était impossible de miauler un mots sans tout faire tomber. Cette situation m'amusa au plus haut point et j’eus du mal a garder mon calme. Perdue dans mes pensée, je ne vis pas la pierre sur le chemin. Je me la prit en plein dedans, trébucha et roula sur le coté. Mes proies étaient tombées et je riais de tout mon coeur de cette chute pour le moins inattendue. Je me releva en pouffant, repris le gibier et osa enfin regarder ma cheffe après cette cuisante humiliation. Je pouffa de nouveau et repris la route. le fou rire me gagnait et il fallait a tout prix le contenir !